Jules N. Van Ashes / Admin

IDENTITÉ

x Nom ? Van Ashes.
x Prénom(s) ? Jules, Néron.
x Âge ? 24 ans.
x Nationalité ? Franco-Hollandais.
x Orientation Sexuel ? Hétéro'

PHYSIQUE

Pour commencer, Jules a vingt-trois ans mais son physique rappel plus celui d'un adolescent de seize ans - certes, on parait tout de même jeune à vingt-trois ans -. Sa mine enfantine, sa petite taille, ses airs capricieux et trop sur de lui. C'est différentes facettes sont renforcées par son caractère bien particulier.

Attardons nous, si vous le voulez bien - pas le choix -, sur son visage. Jules n'a pas quitté les traits fins de l'enfance. Présumons qu'il aura ce visage doux à regarder toute sa vie. Il a les lèvres douces et une peau laiteuse quelque peu blanche due à ses gènes hollandais. Monsieur le noble prend soin de lui, il met du miel sur ses lèvres et use de remède de grand-mère pour sa peau ; mais noté qu'il conserve ce petit secret pour lui, depuis quand les hommes sont aussi coquets ? Peut-être à l'époque, je ne dis pas. Il met du parfum mais refuse le port de la perruque. Certes, c'est un noble mais il a son brin de liberté. Un petit côté pirate anarchiste ? Quoi qu'il en soit, Jules préfère exhiber les ondulations de au ton châtain et au reflet cuivré de ses cheveux. Il a une coupe relativement courte et il lui arrive d'avoir quelque boucle. Pars ailleurs, en plus d'avoir une teinte rousse, il est légèrement blond, ceci causer par son père hollandais, blond de nature.
Puis son sourire, charmant sourire. Espiègle, il remonte avec une touche de " cute " ses fossettes creuser par l'enfance. Narquois, derrière une moue moqueuse. Sincère, devant un beau sourire fins et spontanées. Professionnel, sans en faire trop. Carrément hot, déclinant dans le sex appeal et le charme masculin. Mais parfois, derrière un simple sourire, on cache sa mauvaise fois et ses vilaines pensées. Son sourire est sa façade.
Enfin, ses prunelles émeraudes se dégradant avec le soleil. Son petit air hautain et noble marquer par le charme de ses œillades, de ses coups d'œil charnel et de la magnifique couleur porter précédemment par sa mère. Ce regard se décline pour laisser place au dirigeant. Sévère et autoritaire. Dur et poignant. Jules inspire ce qu'il est.

Pour qu'il ne fasse pas son âge, Jules est de petite taille pour un homme - à l'époque en même temps, on était pas grand - 1m70 ... au mieux 1m75. Il n'est pas costaux et baraquer et n'a pas une épaisseur surdimensionner.
Juste assez pour son physique. Fin et gracieux. Rien de plus. Pourquoi s'enquiloser de muscle quand on a une peuplade d'homme à ses pieds ? Oui, Jules est lâche.

Détail à son sujet ? Jules à de grandes mains fines et dégage une faible chaleur corporel. Ce n'est pas une radiateur mais de toute façon, il se chauffe rapidement.
What Else ? Jules est chou. Jules a la classe. Jules a vraiment des airs hautain et Jules reflète ce qu'il est.

C'est tout ? Oui, c'est tout.

MENTALITÉ, CARACTÈRE

Jules c'est le-petit-riche par excellence. Certes, il est péter de tunes jusqu'au dent grâce à son aristocrate de père et sa bourgeoise de mère. Tenu dans une éducation stricte et rigoureuse, tachant d'abord de nous concentrer sur l'aspect extérieur de Jules.

Notre charmant français est très bien élevé. Il est polie, soigneux, rigoureux tout en restant à sa place. Bien évidement, ses compétences et sa classe social lui permette vite de devenir quelqu'un d'important. Peut-importe. Ce membre de la Compagnie Française des Indes se montre courtois et très doux. Il est à l'écoute des femmes et sait étaler sa culture. C'est un jeune homme prêt à toute épreuve. Il est calme et diplomate. Il a toute les qualités d'un très bon gendre.

Petite pose. Ceci n'est qu'un aspect. Une bonne figure. Une étiquette coller par sa famille et son ambition. Jules n'est pas comme ça.

En réalité, Jules est colérique, capricieux. Il est d'une terrible mauvaise fois et peste contre tous. Jules n'est pas l'ange que l'on voit toujours respectueux de tous. Il est effronté envers ses hommes, manipulateur, hautain et moqueur. Il rabaisse et se croit trop fort. Très sur de ses qualités, Jules n'a que très peu de limite. Il appâte, vous fait tomber dans un piège et abuse de vous jusqu'à réussir à vous faire garder le silence. Il pense à lui et à sa petite personne avant vous. Tant que son avenir est construit, tout suivra. Tromper dans la perversité sous presque toutes ses formes, Jules abuse d'un bon nombre de chose tel que la luxure, la jalousie, l'envie et la gourmandise. Pourquoi se priver des plaisir de la vie quand il vous tombe sous la main ?

Sur le niveau professionnel, le jeune homme peut faire preuve d'un sérieux impressionnant mais d'un sadisme prononcer. Quand il s'agit de pirate, rien ne peut véritablement l'arrêté car pour lui, le maintiens de la classe social est importante. Ce sadisme, c'est ce qu'il inflige à ce qui l'empêche de réussir. Mental, physique, peut-importe.

Jules est d'une moquerie sans précédent mais son charme se fonde également dessus. Bien qu'il puisse paraitre complément fou, il possède un charme fou. Ses façons narquoises de se mettre plus haut que vous tout en vous démontrant qu'il s'attache à vous peut lui permettre d'arriver à ses fins. Jules en a les compétences. Mais son impatience lui fait défaut.
Il veut tout. Tout de suite et maintenant. Sa petite bourgeoiserie ne lui a pas tirer que des avantages. Il croit être maitre de beaucoup de chose. Il se trompe.
Jules est un véritable paradoxe.
Sur ce, a vous de juger le jeune homme sur ce qu'il est.

ACTIVITE PHYSIQUE'&'SOCIAL

x Aime ? Jules aime la culture françaises au même titre que les belles femmes. Il apprécie l'art et la littérature et se passionne pour la géographie et l'histoire. Il aime sa carrière et quelque peu sa petite personne. Il raffole de la bonne nourriture et de bonne compagnie. Jules est une homme de gout. Il aime le pouvoir et les choses bien faites. On ne change pas un perfectioniste. Sinon, il aime voir le soleil se lever plutôt que de le voir se coucher. Autant qu'il préfère la nuit au jour. Pour un anglais, il préfère le café au thé mais supporte difficilement l'alcool.
x N'aime pas ? Jules détestes les pirates. Autant qu'il déteste les fainéants incapable de rien. Il n'aime pas qu'on se croit supérieur à lui quand ce n'est pas le cas et l'insolence le rend malade. Il n'aime pas la pluie et le vent en même temps, et encore moins quand le soleil est ardent.
x Loisir ? Jules aime les promenades sur les bords de plages , surtout la nuit. Il lit beaucoup tout comme il écrit. Parfois, il pèche comme un paysan, que voulez vous. En dehors de sa carrière militaire, il aime les grandes soirées où il se montre présent quand l'occasion lui est donner.

x Opinion sur le gouvernement et la piraterie ? Jules n'est pas en désaccord avec le gouvernement, vu que c'est lui qui l'a pousser à entrer dans l'armée britannique. Il ne le porte pas dans son cœur, il fait bonne figure par courtoisie et intérêt personnel. Par contre, il soutient forcément la politique et l'économie, sans cela, il trinquerait avec le gouvernement. Au sujet de la piraterie, il veut les éradiquer, les rayer de la surface de la terre. Les voir sombrer.
x Influence ? Jules est d'une influence colossale à Port Royal. De part son charisme et son statue social.
x Relation social et familiale ? Monsieur côtoie la bourgeoisie de Port Royal autant qu'il peut. Il est bien connue au sein de la marine et du pouvoir politique. Son père hollandais a disparu et sa mère ne semble plus vouloir le voir suite à sa traitrise vis à vis de la France.

CARRIÈRE

x Grade ? Amiral
x A la solde de la East India Company ? Oui, 2nd de la EIC
x Navire ? Imperator, His Majesty's Ship Endeavour, accesoirement
x Arme(s) ? Deux sabres (Jules s'est perfectionner dans le combat à deux épées.) et un pistolet.

AUTRES

x Particularité ? Jules est un peu fou ? En tout cas, ce garçon est loin d'être banal. Quelques de sa trempe, son caractère et son physique sont peu communs. Et un p'tit bonhomme comme lui, avoir une tel importance ... Impressionnant hein x) ?
Il ne montrera jamais son dos, vu que son pacte et son ancienneté de pirate y sont tatoué ... :3
x Feat. = Jackson Rathbone

x Code du forum = Auto-validation
x Mot pour la fin ? J'adore passer pour un sale gosse.

HISTOIRE

Néron, un nouveau commencement.

Suisse, année 1670. Français et Hollandais se rencontre pour un diner commercial.

Un diner. Un simple diner commercial. Rythmé par le teintement de verre, les éclats de rires et les conversations politiques. Tout ceci n'était que le fruit d'une alliance temporaire entre les pays sur une petite question d'exportation. Rien de plus. Rien de moins. Rien qui n'apporterais beaucoup d'importance à un couple. Sauf un, un seul. Un riche aristocrate politique hollandais et une modeste bourgeoise de la cour française. Une rencontre anodine et discrète ; quelque regard, des belles paroles, le charme hollandais et la grace française méler dans une valse. Ce qu'il suffisait pour que la belle française tombe sous le charme de l'aristocrate Van Ashes. Les deux jeunes gens apprirent à se connaître au cours de la soirée. Cette soirée ne dura que quelque heures, du début de la soirée au petit matin. Le temps de se connaître, simple connaissance. Pas assez pour former une vie. Des aurevoirs déchirant. Des regrets ... puis des promesses. « Vous viendrez me voir en france ? », « Dès que l'occasion me sera présenter. », « Promettez le moi. », « J'en fais le serment, ma chère. »
Quelque temps s'écoula, des semaines, puis des mois. La noble française pensait ne jamais revoir le bel hollandais qu'elle avait rencontrer. Autant qu'elle restait à sa fenêtre, à revez d'un amour innatendu. Elle envoyait des lettres sans retour. Se languissant dans le vaste jardin de Versailles. Quand allait-revenir le bel étranger qu'elle attendait ?
C'est alors qu'il revint. Le séduisant Van Ashes sortit de l'ombre. Au comble de son contentement, la française s'évanouie. Ici commença l'histoire qu'elle attendait avec impatience. L'amour divin. L'amour de jeune fille. Ce rêve de petite fille qu'on fait encore et encore. Voir le prince charmant arrivé, se marier et avoir des enfants. Beaucoup d'enfant.
Au cours des années, l'Hollandais prit de l'influence à la cour royal, freinant les mauvaises relations entres les deux pays.

Versailles, 1680. Naissance de Port Royal.

Les Van Ashes, après un amour passioné qui ne se terminerait, la Française mit au monde un petit bébé, blond comme son père au regard de jade, d'un vert perçant. Cette enfant portera le nom de Jules, Néron Van Ashes. Jules pour ses racines françaises, Van Ashes et ses consonnances hollandaise. Pourquoi Néron ? Parce que sa mère se passionant de culture latine ? Parce que ce nom était mélodieux ? A croire que le passé dominer par la folie de l'empereur romain aura des conséquences sur l'avenir du jeune enfant. Oui, Néron. Cette empereur mégalomane qu'on qualifiait de fou. Quel avantage a appeler son enfant de la sorte ? Il en était ainsi, Jules portait fièrement son deuxième nom.

Jules vécu à Versailles, d'abord entourer de ses deux parents. Débordant d'amour et chouchouter par toutes les dames de la cours, l'enfant se trouvait être un des centres principales des préocupations de Versailles, pour les dames du moins. Combien de fois le franco-hollandais avait reçu des « Oh, cette enfant est adorable. », « On voit ses racines hollandaise, il garde la grâce française. », « Il a les yeux de sa mère. », « On lui promet de l'avenir. » ?
Seulement, il ne resta proche de ses parents que les premières années de son existence. Les Van Ashes pensaient plus à la liberté et au joie des voyages. 'S'encombrer' d'un jeune enfant ? Quel perte de temps. C'est pourquoi, le petit Jules resta avec des gouvernantes à Versailles et sous l'oeil bien veillant des dames de la cour. Une éducation stricte, droite. Jules fut d'une politesse sans bornes. D'une gentilesse incomparable. C'était l'un des petits princes de la cours. Aussi bien que toutes le bordant de cadeau et cédant à ses rares caprices. Jules était un enfant adorable, confiant et attachant.
Or, bercer par une enfance solitaire. Sans parent, seulement des substitues.
Alors il érait parfois dans les couloirs du château, un ours en peluche à la main.

« _ Je cherche ma maman.
_ Jules, ta maman est partie quelque temps en hollande avec ton papa.
_ Quand est-ce qu'elle reviendra ?
_ Eh ! Qui sait mon bonhomme. »

Puis Jules regarda pensivement ses pieds, retournait dans sa chambre et posait ses fesses sur son lit. Il s'adonnait à des regards tristes par la fenêtre. Parfois même, il se précipitait au porte du château à chaque bruit de calèche. « Maman ! » puis de nouveau, cette déception en voyant un Comte, parfois une Baronne. Tout de même, il ravala ses mots et courait vers eux les bras grands ouvert pour leur laisser supposer une enfance heureuse. L'était-il seulement, heureux ? Un brin d'hypocrisie, pour les rendre heureux, garder sa dignité, faire bonne figure. Déjà tout jeune, Jules s'avait comment tournait le monde. S'il voulait bien paraître, il devait lancer cette image. Sourire, paraître propre, bien élever. Rester à sa place et attendre. Le retour de ses parents ? Une occasion de sembler 'petit prince' ?
Jules vivait dans l'aristocratie, une noble enfance et des bases sévères pour son futur bien avancer.

Il étudiait avec les gouvernantes, il se passionnait pour la littérature, l'histoire, la géographie et les langues. Il aimait la mer. Un navire. Un rêve d'enfant. Il voulait entrer dans l'armée et rendre ses parents fièrent.
Dès que l'occasion se présentait et qu'un officier de la marine faisait place au château, il partait parler. Apprenait les bases et se montrait en bonne élève. Cultiver et douer, Jules s'offrait un avenir prometteur.

Dans son bain, il révisait la géographie. « Quel est la capital de tel pays ? » Jules répondait rapidement. Il se trompait par moment, mais ne dit-on pas que c'est à partir des erreurs que nous apprenons ? Certes, on répétait souvent cette consigne au jeune garçon, mais Jules était perfectioniste. Jules refusait l'échec. Alors il se mettait parfois en colère. Uniquement devant les gouvernantes ... Qui voudrait d'un garçon capricieux à la cour ? Il ravala sa haine et sa colère. Jules conservera ses traits de caractère si marquant, ses traits personelles. Jules ne jetait qu'un facette. La facette que la cour voulait avoir, pas une facette réel.
« Jules, je refuse que tu sois colérique. Que dirait Mesdames si tu te mettant dans tes états à chaque faux pas. » et le Van Ashes répondait « Je n'aime pas me tromper. », « C'est normal de faire des erreurs, contrôle toi. » Puis, il se forçait d'adopter cette forme de vie. Souriait de ses erreurs. Fulminant intérieurement. Il se trouvait parfois ridicule. Il était inconsevable qu'il fasse erreurs.
Jamais il ne devrait faire d'erreur. Jamais.

« _ Tu es doué en géographie toi, non ?
_ Je crois. Pourquoi cette question monsieur ?
_ Tu voudrais devenir navigateur ?
_ Je voudrais rentré dans la marine.
_ Pourquoi ?
_ Chasser les pirates ! »

D'ordinaire, les enfants veulent être des pirates, non pas les chasser.
Jules avait compris la différence entre la justice et l'anarchie.

Habituellement convier au grande soirée, Jules exerçait un petit côté charmant et plaisait au dame. Cet atout, il le travailla à son adolescence, lorsqu'il quitta l'enveloppe du petit garçon qu'il était.
Jules était agé de seize ans. Comme s'il ne laissait pas une trace de lui lors des soirées. Il attirait naturellement les dames. Ce charme naturel, l'habilité de ses regards, ses intonations de voix, ses paroles chaleureuse et sa facilité à établir le contact.
Avec les gouvernantes, il avait eu l'avantage de trouver les bons mots avec les femmes. La finesse des gestes et ce mérite d'être un bon danseur. Voilà qu'il faisait tourner la tête des jeunes filles venu de comté et autre bourg. Il avait un physique qui l'avantageait et son métissage franco-hollandais plaisait à ses dames. Jules étalait sa culture et leur parlait d'horizon, il se risquait à des balades et des flirts. Mais jamais plus loin. Pourquoi faire des jalouses et dépasser le protocole. Tout ceci n'était que pour se faire bien voir. Avoir de l'influence. Avoir des places.
« _ Vous dansez merveilleusement bien, Jules.
_ Assurez-moi que je m'égale à votre niveau. »
Puis de nouveau, il lui décrochait un sourire à faire s'évanouir un bataillon et une oeillade distante, pourtant bien proche. Jules avait ce 'feeling'.
Jules avait ce petit plus d'être sur de lui. Il avait la classe, le charme, l'ambition. De plus, il aimait les femmes. Mais il avait toujours cette ennuie, ce petit brun de folie rappelant l'empereur Néron dont il avait hérité le deuxième prénom. Cette faible mégalomanie à l'époque. Cette rage de vaincre. Cette inacceptation à perdre. Il lui suffisait de ça pour perdre le fil et casser cette image.

C'est aussi à ce moment là que Jules prit conscience qu'il devait conserver l'écart entre les classes socials. Que les nobles devait survivre. Ne pas se mélanger. Ne pas sombrer. Bien connue pour être passioner par la mer, la politique, le commerce et ce qu'il s'enssuie. Il s'intéressa à la Compagne des Indes. Puis au îles, Port Royal, les Antilles françaises. Et les pirates. Ce rêve d'enfance qui ne s'était pas évanouie au cours des années mais au contraire intensifier. Cette rage de vaincre, de détruire les rebelles. Les traquer.
« Ces pourriture ne doivent perturber l'océan. »