Un début de journée prometteur [PV - Jules, Estrella&Melo']

Port Royal en pleine matinée. Port Royal pas bien agité.

Cette ville portuaire avait le mérite d'être bien entourer d'une population bourgeoise. Très peu de noble commençait leur matinée tôt. Où allait les dire de « Les bourgeois sont libres. Les bourgeois ont tout les droits ? » s'ils se levait de bons matin pour aller travailler ? Ça n'existe pas ce genre de réalité ? Oui, comme vous dites.

La seule agitation qui s'élevait dans Port Royal provenait des modestes travailleurs et autres petits paysans, ou même de l'armée britannique. L'armée. Non seulement pleine de ressources et peuplée de gens d'une catégorie social élevé, Port Royal avait aussi l'armée entre les pattes. Eh bien, c'est qu'on trouve de tout à Port Royal ! C'est comment dire, l'endroit rêvez ?
Bien sur, tout dépend du point de vue. Mais quel point de vue ?

Occupons-nous de la vision, certes droite, d'un petit personnage de Port Royal. Petit, seulement en apparence. Une visage quelque peu enfantin, un petit mètre soixante-quinze, des mimiques gamines. Qui penserait que cette homme avait vingt-trois ans alors qu'il en paraissait dix-neuf, seize en ayant l'air tout de même mature ? - c'est mon premier poste avec Jules, je dois décrire bien. Enfin ! J'ai un boulot de narrateur moi. - Voici donc Jules, Néron Van Ashes, Contre-Amiral de l'armée britannique muter à Port Royal, au service de l'East India Company. Quel bel présentation. Tout jeune déjà, déjà tant de renommer. Autant de potentiel et de charisme dans un seul homme, c'est trop demander pour l'Angleterre. Un tel niveau, après seulement vingt-trois ans d'existence. Prodigieux, j'ai envie de vous dire.

Jules faisait donc partie des rares lève-tôt de Port Royal, cependant, il n'était pas en fonction aujourd'hui. Pourquoi travailler tout le temps alors qu'on a des larbins pour s'occuper du sale boulot ? Jules profitait bien de son statut, peut-être trop mais honnêtement, qui osait lui tenir tête ? Surtout pas ses hommes. Un simple soldat versus le Contre-Amiral ? Il fallait être fou pour envisager ce genre de prise de bec. Alors ils se taisaient et obéissaient aveuglément à la « Terreur » de Port Royal qu'étais Ju'.
Donc, pourquoi Jules se levait tôt alors qu'une grasse matinée inhabituel lui était offerte ? Simplement parce que Jules n'aime pas lambiner et que le matin reste le moment de la journée qu'il préfère – avec les fins de soirée et la nuit – Il restait donc dans les rues, à inspecter le calme régnant même s'il était au repos.
Appréciant les rues de Port Royal qu'il trouvait charmante, bien que la France qu'il eut quitter était bien plus belle, Jules trainait la patte en regardant les enseignes qui défilait devant lui.
Coiffeur, boucherie, poissonnerie, boutique de luxe, taverne.
Taverne ...

* Encore bled d'ivrogne. Bourrer de type louche et autres partisans de la pirates. *

Ju' portait des vêtements chics de l'époque – désolé mais je n'y connais strictement rien à la mode de l'époque ._. - et avait abandonner son uniforme réglementaire chez lui. A l'abri des regards fuyant et de la total domination qu'il offrait sous son passage en dévoilant ses insignes militaires, ses bagnes et son appartenances à la EIC, il pouvait apprécier le calme respectif et les quelques réactions distantes. Moins intenses qu'à l'ordinaire, certes. Mais Jules restait quelqu'un de redouter. Connue pour être sans appel et par moment d'une cruauté impensable à son apparence déroutante et contradictoire avec sa mentalité, il avait ce petit quelque chose qui impressionne, fascine et pourtant, il restait redouter, craint. La peur, Jules apportait vraiment de la peur ? Son charisme était plus attirant que ce fardeaux professionnel ?

Mais le jeune homme s'en moquait un peu, du moment que sa légère double personnalité n'était pas afficher aux yeux de tout le monde. Du moment qu'il continuait de refléter la courtoisie, l'élégance et ce charme. La vie suivrait son cours. A savoir, ce côté était encore au goût du jour. C'est ce qu'on se forçait à croire et à accepter. Pourquoi croyez vous qu'une partie de la bourgeoisie lui tourne autour ? Bien sur, pour l'intérêt et la renommer. Ce n'est pas rien de connaître le Contre-Amiral et de l'avoir pour ami, surtout quand celui-ci se montre être un personnage adorable, cultiver. Plein de qualité quoi'. Pour ce qui est de la vérité, c'est à vous d'en juger, ami rpgiste ! Jules n'est pas une mince affaire.

Le jeune homme descendit la rue et se risqua à un coup d'œil dédaigneux dans l'intérieur de la taverne, depuis la route. L'extérieur du lieu en question était crasseux, le pancarte en bois était ronger par les mites, les vitres avaient une couleur grise, poussiéreuses, sans douter une seconde qu'elles devaient être effectivement sales. Puis un homme sortit, la barbe grisonnante et le crânes dégarnis. Son allure de poivrot laissa un froid au prêt du jeune Van Ashes qui réprima un reniflement de dégout. Il y a encore de ça à Port Royal, pensa t-il, C'est pitoyable.
Comme quoi, même ici on est à l'abri de rien. Encore heureux, il ne s'agissait pas de pirate. Dans le cas contraire, Jules serait entré dans une colère noir, une sorte de transe destructrice. Il aurait débiter un nombre d'insulte et aurait siffler la garde. Même plus, il se serait charger de leur sauter à la gorge.

Il fut sortit de sa léthargie morbide par un roucoulement féminin. Une jeune fille, de sa voix haute perchée qui avait tendance à taper sur le système héla Jules de l'autre côté de la rue. Dans sa robe jaune poussin, un éventaille lui cachant la moitié du visage, elle continua de couiner son nom « Jules ? Jules ! » Ju' soupira et jeta un sourire faux sur son visage qui se masqua de toute pensée méprisante. Une apparence adorable, à lui sauter dessus.
Elle gloussa, accompagnée d'une amie tout aussi 'ridiculement bourgeoise' qu'elle. La deuxième concernée regardait avec insistance le 2nd de la Compagnie des Indes en battant des cils. Elles minaudèrent de leur voix chatoyante jusqu'à ce que Jules soit forcer de craquer et dire un :

« Très bien, je me rend mesdemoiselles. Je tacherais d'être présent à votre bal. » Débita t-il d'une voix adorable, charmante, coulante.

Tout ces gémissement jousif et cette emmerdement pour quoi ?
Être inviter à un putain de bal qu'il n'avait pas envie de voir ?
Il avait dit qu'il tacherait d'y être, pas qu'il y serait. Si quelqu'un de plaisant s'y trouve, alors peut-être qu'il fera un effort d'acte de présence.

Pas de manière de branleur. Juste cette touche de « kawaiisme » dans l'air.
Pas plus, pas moins. De toute façon, Jules avait appris à s'adapter en fonction des situations.
Il regarda s'éloigner les deux demoiselles qui continuait de piailler « Il est adorable pour un militaire. T'as vu ses yeux. Oh, son sourire ! » Il ravala un raclement de gorge rauque pour exprimer sa lassitude et passa une main dans ses cheveux châtains, prenant des couleurs rousses avec les premières lueurs du soleil.
Il allait faire chaud aujourd'hui. Jules détestait la chaleur.
La journée allait-elle se passer aussi mal qu'il le prévoyait ?

Jules n'aimait pas vraiment ses jours de congé. Travailler lui permettait de passer le temps.
Il resta sur place, fixant les deux filles d'un regard vif et émeraude comme à son habitude – il a un de ces regard ce con *__* Chut Narrateur ! - jusqu'à ce qu'elle disparaissent ...

Dans une ruelle forte bien réputée une demoiselle s’avança d’un pas léger. Elle avait les cheveux blond cendré, et son visage était rayonnant. Cela faisait à peine un jour qu’elle était arrivée à Port Royal et tout lui semblé déjà tant monotone. Oui même si c’était sa première journée, elle s’était levée ce matin pour cause de chantier chez elle. Eh bien c’est domestiques la réveille a cause de l’épouvantable bruit qu’ils font en nettoyant. Vous savez elle a le sommeil fragile. En même temps je crois que ses serviteurs le font exprès, ils faut bien qu’ils se vengent non ? Alors ils n’ont que cette solution. Ou la dépouillé au poker du soir, oui elle adore parier son argent à des jeux à la cons. Voila juste Estrella, que c’est serviteurs connaissent de son vrai jour. Vous savez la elle est dans la rue bien souriante elle à l’air aimable, charitable et d’une douceur absolu. Détrompé vous, cette jeune fille est bien pire.

Son visage montra une mine réjouie, elle était munie d’une ombrelle qui n’était pas ouverte et lui servez juste un peu de déco. Mais celle-ci allez très bien avec sa robe verte clair et un jupon blanc. Vous s’avez une robe de riche, tout les passant était river sur elle à chaque de ses pas. Elle porté des talons ce qui la rendait encore plus grande. Quand un rustre animal vient la déranger dans son ascension de la ville. On ne dérange pas une Melle Swann, l’homme avait une barbe d’une semaine au moins et avait l’air saoul comme un trou. Celui voulut lui dire quelques mots, comment ça il ne put ? Non il s’était retrouver à terre l’animal. Une ombrelle qui vous arrive dessus c’est normal ça fait mal, je vous jure. Elle l’avait ouverte et se promener maintenant avec celle-ci sur son épaule à la faire tournée. Une vrai gosse.

Elle s’arrêta devant une boutique, des robes étaient en exposition, elle posa une main sur la vitrine, il ne fallait pas déjà commencer a tout dépenser non ? Pourquoi se privé ? Allons-y gaiement non ? Peut être plus tard, elle n’avait pas la tête vraiment à ça. Elle continua donc, la tête dans les nuages. Quand elle vient taper dans quelques choses, ou mieux encore dans quelques choses. Elle partit un peu en arrière et recula d’un pas, elle releva la tête et d’un air vraiment hautain elle envoya fusé sa colère :

« Tss quelle sont vos manières jeune homme pour poussez une jeune femme digne de moi ! »

Non elle se prend pas trop pour quelqu’un d’autre, elle le regarda de haut en bas et jugea tout de suite que ce n’était sans doute qu’un bourge perdu. Elle fit un grand « haan » d’un super air hautain supérieur. Le genre que ses serviteurs s’écrasent toujours comme des merdes. Elle se dépoussiéra quelques peu, quoi que je vois pas pourquoi enfaite vu qu’elle n’est pas tombée. Et mademoiselle continua dans sa lancée de sale bourge hautaine qui n’a pas assez dormi de la nuit :

« Vous avez de la chance que je ne vous demande pas d’excuse publique. »

C’est très jolie ça surtout que c’est un peu de sa faute à elle, mais bon on ne la change pas. Pour elle il n’a que tord, même si elle reconnut quand elle croisa ses yeux qu’il avait une jolie frimousse. Allez savoir elle laissa échapper un sourire et fit tourner son ombrelle sur son épaule. C’est trop chou, moi je dis. Estella je t’aime tu es mon idole féminin. Oui le narrateur se calme ok, je vous laisse juste sur cette image de pseudo gamine quelle donne.

Tu as parlé de taverne ? Owww, mais quelle coïncidence ! C’est dans un de ses lieux que se trouvait une jeune pirate, une femme, magnifique, jolie, somptueuse, rayonnant de beauté, ravageuse créature de la mer !x) Ok j’arrête… Certes, elle était pirate, mais étrangement, rien dans son apparence ne pouvait le laisser deviner. Elle n’avait jamais été capturé, et n’avait donc pas du subir la marque du « P » au fer rouge. Et niveau vestimentaire, elle s’habillait correctement, non comme une bourgeoise, et ne suivait pas non plus la mode de l’époque. Ses vêtements, elle les faisait exporter de petites iles étranges, connus uniquement par les pirates du Hawk Sea. Cela la différenciait des autres. Elle était plus originale, et semblait plus attirée l’attention. Oh, évidement, lorsque l’ont porte quelque chose de différent, là, vous avez le droit à tous. Vous êtes insultée de sorcière, ou au contraire, on vous prend pour quelqu’un de très importante pour la ville, mais encore, on peut vous prendre pour une princesse venant d’Europe réfugiée à Port Royal. Oui, elle avait eu le droit à beaucoup de chose.

Oh, et bien sur, aussi, les questions fusaient. Pour ceux qui croyaient que c’était une femme de haute importance, ils se demandaient ce qu’elle pouvait bien faire dans un lieu comme celui-ci. Une taverne remplie d’alcooliques, criminelles, vauriens, pirates et autres rejets de la société. Aussi, un énorme troupeau d’hommes s’était formé autour d’elle. Melody était assise au comptoir, calmement, faisant comme si de rien était. Elle avait toujours l’habitude d’être le centre de l’attention dans ce genre d’établissement. Et il y avait deux raisons à cela. La première, les femmes étaient rares dans ce genre de lieu, alors cela va de soit que dès qu’il y en a une, les hommes lui sautent dessus. Histoire d’avoir un peu de réconfort, raconter leurs histoires, ou courtiser. La plupart du temps, c’est surtout la dernière option. De plus, étant assez charmante, ce genre de lieu n’était pas à son avantage. Du moins, lorsqu’elle était seule. Parce que, croyez-moi sur parole, aucun de ses hommes à le sens des bonnes manières ou de la galanterie ! La seconde, c’était pour tenter de l’engager sur leurs navires. Peine perdue, étant donné l’amour qu’elle portait pour le Hawk Sea et son équipage.

Donc ! La taverne où se trouvait la jeune femme était plutôt grande, bien qu’étroite. Les chaises et les tables étaient miteuses et très encombrantes. Il y avait peu de places entre chacune d’elles pour pouvoir passer sans devoir bousculer quelqu’un. Volontaire ou non ? En tout cas, vu que tout le monde s’emportait vite ici, les bagarres fusaient rapidement ! L’établissement avait un étage, la décoration était fade et fatiguée. Il y avait pas mal de combat, mais la jeune femme ni porta aucune attention.

« Raaah, c’est sûrement pas ici que j’aurai du calme ! »

Lâchant un profond soupir, la jeune pirate porta ses doux yeux bleus sur une des fenêtres de la taverne. Melody haussa un sourcil, regardant avec amusement un jeune homme parlant à des femmes. Pas à redire, elles étaient superficielles, et le jeune homme n’avait pas l’air très passionné par elle. La brune se leva d’un bond, lâcha la pinte de bière qu’elle tenait dans sa main et repoussa une mèche qui lui revenait dans les yeux.

« Messieurs, je crains que je ne doive vous laisser ! »

Un « ohhh » se fit entendre dans toute la salle, et les bagarres cessèrent d’un coup. Comme si elles n’avaient été provoquées que pour attirée l’attention de la femme et prouver la force et la virilité de chacun. Les hommes semblaient tristes et déçus. A vrai dire, aucun n’avait réussi à capter plus de quelques secondes l’attention et le regard de la belle. Embrassant sur la joue l’homme assit à côté d’elle –bien qu’elle ne le connaissait absolument pas- elle commença à partir.

« Bonne journée à vous tous ! Je reviendrai ! »

Sans se retourner, elle leva un de ses bras en guise d’au revoir. A peine avait-elle quitter la taverne que tous les hommes venaient de sauter sur celui qu’elle avait embrasser. Par pur jalousie. Il allait sûrement passer un très mauvais quart d’heure !

Sortie à l’exterieur, la jeune femme inspira un grand coup. La mer commençait à lui manquer… Elle chercha des yeux l’homme qu’elle avait aperçu, hey, on peut toujours s’amuser un peu avant de remonter à bord du Hawk Sea ! Elle ne tarda pas à le trouver, il n’avait pas beaucoup bouger. Cependant, une jeune femme venait de lui rentrer dedans et de l’acuser alors que le pauvre était innocent. Un sublime sourire moqueur se dressa sur les lèvres de la pirate. Oh, après tout, elle n’était pas sur terre souvent, alors fonce et éclate toi !

Melody s’avança vers les deux jeunes personnes, et s’accrocha au bras droit du jeune homme. Elle fit mine de ne pas avoir vu la jolie blondinette qui lui faisait face.

« Mon amour ! Sais-tu depuis combien de temps je te cherche ?! »

Puis elle cessa de négliger la bourgeoise et leva son regard vers elle.

« Il y a un problème avec…euh… »

*Oups, c’est quoi son nom ? xD *

« …mon fiancé ?! »

Jules se fit percuter brutalement. Si bien qu'il avança d'un pas. Durant cette avancée, un nombre de question lui frappa l'esprit « Qui ? Comment ? Pourquoi ? » Ça pouvait être n'importe qui, un sale ivrogne qui allait s'en recevoir la tronche s'il ne se mettait pas à genoux avec un pied en prime au coin de la tronche. Peut-être même un noble qui allait devoir s'excuser promptement. Où encore un supérieur à qui il devrait de plate excuse. Franchement, c'est pas si varier à Port Royal. Pas tant que ça.
Jules se retourna brusquement et eut le temps d'entendre un timbre de voix féminin. Alors une femme. Ok, il allait être dispenser de taper des gens. Puis, Ju' constata avec étonnement qu'il faisait face à une femme du monde, toute joliment vêtu d'un vert anis. Il la contempla un bref instant, analysant sa garde robe complète sans oublier son ombrelle. Elle s'époustait de partout en bronchant, pourquoi il était obliger de tomber dessus dès le matin ? Seulement, il ne l'avait jamais vu. Non, jamais. Elle n'était très typé Caraïbes, ni très anglophone. Il s'avança vers elle et se pencha un peu en avant histoire de l'avoir en face pendant qu'elle s'époustait.
Yeux bleu ? C'est jolie.

Et pour le comble du paroxysme, elle fit tourner son ombrelle sur son épaule. Comme-ça, elle avait l'air mature et digne de son apparence. Mais cela lui apportant le charme de l'enfance. Un peu comme lui ? Il la gratifia d'un sourire effacé rappelant une image faussement désolé. Il se forçait à paraitre désolé. A qui la faute véritablement ?
Il s'apprêta à lui répondre quelque chose dans le genre « Qui devrait s'excuser réellement ? » mais on le freina. On le freina gentiment, posément. Un sourire. Juste un sourire.
Ju' a une affreuse faiblesse avec la gente féminine, ça le fera bien sombrer un jour.
Il s'arrêta et lui adressa une mine dubitative. Elle s'emportait pour des excuses et lui souriait ?

Ju' se risqua a émettre un faible gloussement rauque – trop viril arrête – et pencha la tête sur le côté tel un chiot qui ne comprend pas. Et ça c'est Contre-Amiral ? Vraiment, ça joue sur les apparences à ce degrés.

« Je suis vraiment navré de vous avoir encombrer la route. Vraiment, j'en suis désolé. » Dit-il d'un ton qui aurait pu paraitre sincère si la moquerie n'avait pas eu lieu.

Une moquerie gentille. Oui, mais tellement charmante. Vous savez, l'emploie de « Je suis navré » c'est limite insultant par moment.
Mais peu importe, il se risqua à continuer sur le défi. Elle avait l'air d'être aussi hautaine que lui et d'avoir une grande fierté, elle se risquerait à jouer, non ? Pourquoi se braquerait-elle soudainement ? Il n'y avait pas de raison. C'est ce qu'il en pensait. Il mit en doute la parole de la blonde et leurs relations futur en jeux. Si elle prenait ça plutôt bien et cette provocation comme une distraction quelconque, cela pourrait aboutir à quelque chose.

« Or, puis-je me permettre de vous demander si vous regardiez ailleurs lorsque vous marchiez ? » Il croisa les bras en lui adressant une tronche digne de la dernière image de ma signe - j'adore la tête qui tire XD genre 'j'me la pète' total. « Dans le cas contraire, je ne pensais pas être réellement transparent. »

A ça il rajouta un grand sourire amusé. Ju', tu oses te rabaisser toi même ? C'est pour l'adaptation enfin. Et puis, Jules est-il aussi transparent qu'il se risquait d'affirmer ? Pas avis personnelle, je ne pense pas. Même en restant passif dans la rue.
D'accord, avec les marques d'appartenances à l'armée, là on le rate pas.
Ouais, c'est pas le but de ce poste. On comprend pas xD

Puis soudainement, une présence se fit sentir sur son bras. Ju' se raidit soudainement et lança un regard incrédule à la brunette contre lui. Plutôt jolie, des yeux magnifiques, une voix divine. D'où sors-tu petite créature xD ?

« Il y a un problème avec mon fiancé ? »

La phrase résonna dans la tête du franco-hollandais. Plusieurs fois, jusqu'à ce que sa voix s'efface. Fiancé ? Il avait raté un épisode où elle était siphonné ?
Il l'a regarda encore quelque instant et transforma sa curiosité en un sourire affectif et saisit la jeune fille entre ses bras. Il avait commencé à jouer avec une, pourquoi pas avec l'autre ?
Je le reconnais, Jules joue avec les femmes comme elles se jouent de lui. Avec un faible pareil, ce serait trop bête de rater l'occasion ! Jules, petit monstre.
Je m'excuse d'avance, je n'ai pas d'autre appellation que « princesse. » dans l'immédiat , je ne tiens pas à friser le ridicule.

« Princesse ! Enfin de retour, où étais-tu pendant tout ce temps °O ? »

Il s'arrêta là, avant de vomir.
Non, les relations mielleuses et naïves, très peu pour lui.

« Rien d'important, juste un petit problème d'équilibre. »

Ju' ajouta à ses mots une figure amusé à l'adresse de la blonde. P'tit sourire, fossettes de mômes. Tout ça, la bouille de biais. Oui, c'est plus mieux comme qu'on dit chez moi.
Il se rapprocha de la brune et lui prit la main en la bouffant du regard. Petit comédien va'.
Puis, en s'arrangeant pour être contre la brune et cacher le regard de cette dernière, il posa ses yeux sur la blonde en vert.

Il perdit son sourire et la regarda avec une passion enfantine. Un oeil vif et éclairer d'une gaité qu'on a à 10 ans, il repassa plusieurs fois son visage pour l'avoir en tête et lui lança un sourire timide, nekotique. Un genre de sourire en pinçant les lèvres où on se dit « Oh mais t'es trop mignon, touah ! » Il ajouta pour le tout une œillade charnelle et s'écarta vivement de la brune en s'attardant plus sur la blonde.
Dans l'immédiat de la situation, il ne pouvait faire les présentations avec la brune sinon la mise en scène s'effondrait. Il devait tacher de faire mine de la connaitre. Dur, très dur. Surtout quand on déteste passer pour un homme trop courtois et attachant tel un chien avec les dames. Qu'on préfère passer pour un sale gamin au sourire narquois et au regard incendiant.

« Quel est votre nom, très chère ? Si je ne m'égare pas, vous n'êtes pas de Port Royal ? Je me serais souvenu de votre visage. »

Et encore un moyen de se dire « Comment il fait pour connaitre tout le monde ? » Je t'aime Ju'. Il est choupinet et il a de la méthode. Ouhouhouh~

Mademoiselle planter au milieu de la route avec son ombrelle verte pale pour allez avec sa robe. Saviez-vous qu’elle en posséder une bonne trentaine ? Toutes venu des plus grands couturiers de France. Enfin, elle était en France quand elles avaient achetées. De plus elle avait de la dentelle au bout, c’est de la qualité quand même. Voila que je discute d’une ombrelle magnifique. Son regard était toujours porté sur l’homme quelle accusé de l’avoir bousculé. Oui elle attend des excuses, c’est une demoiselle pas du tout contraignante. Enfin monsieur s’exécuta, mais le ton qu’il prit la fit froncé les sourcils, oui c’était de la rigolade ce petit. Elle le fera déchanter. Distraite, Estrella regarda en détaille le jeune homme, il était bien habiller, et avait l’air assez jeune. Peut être de son âge, oui il faisait plutôt gamin, peut être son petit air.

Enfin, le jeune homme voulait jouer. Sa merveilleuse phrase de réplique piqua au vif la Swann, il osait la contredire. Une chose impardonnable pour n’importe qui ! Comment ça il oser mettre en doute ça parole ? Non mais vraiment la sienne, quoi que franchement il avait raison. Non me tape pas >__<. Sa c’est sur il n’était pas tout à fait transparent, je crois même que tout les deux avait fait des curieux, il devait être connut dans le quartier. Des messes basses fusent d’un peu partout mais la jeune femme ne se dégonfla pas et voulut reprendre de plus belle tant une personne inattendu fit son apparition. Une jeune femme qui se prétendait être sa fiancée. Tout d’abord Estrella fut surprise, il était déjà fiancé à son âge ? Peut être avait il plus. La jeune femme quand à elle était très jolie mais des plus étrange, elle n’avait pas du tout la mode d’ici. Quoi que je pense non plus Estrella, elle était plus mode de Paris. Non elle n’a pas de béret et de baguette sous le bras foutaise ! Tout de même cette femme vraiment l'intriguer, elle était différente. En quoi ça elle ne savait pas mais elle l’était différente et cela faisait tout son charme. Pour une fois, mademoiselle Swann était étonné et charmé par les personnes devant elle. Oui ils faisaient un jolie couple tout les deux.

Elle esquissa un sourire à la jeune femme qui lui poser la question, oui en faite elle se force à être aimable, sinon elle lui aurait remballé qu’elle avait mal choisis qu’il n’était qu’un rustre personnage. Voila c’était tout à fait cela un petit problème d’équilibre, il résume plutôt bien celui la. Elle rêvé ou bien le blond au reflet roux la regarder presque avec envie ? Ou bien c’était dans son esprit farfelu de sale bourge. C’était peut être ça. Enfin le sourire la mit de glace, il n’avait pas honte celui la ? Elle eut encore une plus mauvaise image de lui, comment pouvait il faire cela devant sa future épouse ?! Non mais vraiment quel rustre, gougeât ! La demoiselle Swann avait cessé de faire tourner son ombrelle et avait pris un pan de sa robe anis pour jouer inconsciemment avec, vous savez un truc de bourge.

Mademoiselle n’hésita pas un moment pour se présenter, cela lui fait toujours de nouvelle connaissance. Et il lui en fallez, vous savez rester seule le soir c’est pas top, et dire quelle avait juste passez une nuit toute seule à jouer avec ses serviteurs. D’ailleurs elle avait gagné et elle avait évité de ciré l’escalier. Quand la solitude nous tien.

« Je me nomme Estrella Swann, et vous voyez bien je ne viens pas d’ici, mais de France je suis arrivé hier. »

En plus de ça il était facile de reconnaître la blondinette comme une française, en effet son accent tout à fait français et son teint blanchâtre. Oui elle n’a pas encore eu le temps de prendre des couleurs. Pour précisé elle parle assez bien anglais, quoi que avec un superbe accent français donc cela sonne moyens et quand madame s’énerve trop elle re-crit en français. Oui elle parle à son majordome Charles-Henry en français parce qu’il ne la quitte jamais –enfin si quand même-, il assure un peu sa protection. Faut reprendre la discutions, hein mademoiselle j’ai besoin de contacte pour enrichir ma réputation. Bizarrement elle avait pris une voix calme et détendu, ce n’était vraiment plus la même femme. Elle fit un grand sourire et lui posa :

« Et vous comment vous nommez vous ? Ainsi que votre charmante future femme ? »

Elle se tue et repris de plus belle :

« Je me demander, vous paraissez bien jeunes quelles âges avez-vous ? Vous devait vraiment vous aimer beaucoup pour vous marié si, enfin vous faite si jeune ! »

Elle étouffa un rire, de grand hahaha ! J’aime les rires de bourges surtout quelle s’incruste celle la, quoi que non ont lui poses une question et comme elle n’est pas malpolie elle ne va pas s’en allez en courant. Évidemment. La jeune femme porta son attention sur un magasin accoter des jeunes, son regard les articles et celle-ci revenu dans le monde réelle après avoir balayé rapidement la vitrine. Estrella les regarda avec un faux sourire comme elle savait si bien les faire pour leurs paraître sympathique, peut être sera-t-elle invitée à leurs mariage ? Il ya toujours un intérêt partout.

Je suis un très bon narrateur qui sait s'adapter au situation. C'est pourquoi, je saute le tour de Melody de façon à écarter Ju' de la conversation et leur permettre de continuer sans éprouver le sentiment d'être réellement bloquer. Vous allez voir comment je vais arranger le coup.

Jules ne prêta que peu d'attention au racontar qui s'élevait autour de lui. Pour quoi passait-il ? Un gigolo ? Un joueur ? Un rustre ? Peu importe, quand on a la main mise sur Port Royal, on peut se permettre un tas de chose follement amusante et au delà des espérances. Enfin presque.
Le visage de la blonde changea d'apparence. Au diable les petits airs mignon ? Autant choquer par un petit noble qui vous fait de l'œil ? D'accord, c'est plutôt stupéfiant quand on croit que celui-ci est un futur marier, ça aurait changer quelque chose s'il avait été seul à ce moment précis ? L'image qu'il donnait, certainement. Et la relation aussi. Elle ne le prendrait pas pour un homme fiancé frivole et infidèle.

Quoi qu'il en soit, il en apprenait d'avantage sur la nouvelle venue et ce fut avec plaisir qu'il apprit qu'il avait raison. A force de voir des têtes de riches, on commence à connaitre. Alors vous pensez bien, quand une nouvelle tête débarque, impossible de la rater. Blonde en plus ! Blonde et très jolie, ça les gars, ça-ne-se-loupeuh-pas~
Je suis un narrateur d'une incompétence déplorable ...
Estrella ... Swann. Bizarre, ça avait une consonance connue.

« Swann ? Vous êtes de la famille du Gouverneur ? »

Jules ! Enfin ! Où sont passez tes bonnes manières ?

« Oh, excusez moi, je m'emporte ! L'effet de surprise je suppose x). »

Mais la stupéfaction le prenait. Abasourdis par le lien de famille qui unissait la dites Estrella et la famille du Gouverneur, Jules la regarda avec un étonnement visible. Ses pupilles vertes laissèrent place à l'intérêt ; s'il approchait la demoiselle en question, il sera bien plus proche du Gouverneur, non ? De plus, elle avait l'air plutôt sympathique, charmante et agréable à vivre. Quelque belle parole, une liaison clair et simple, un léger aperçu de sa vraie personnalité et le tour était jouer. Jules avait une facilité à appâter. D'autant plus quand la personne en question fascine. Pourquoi la fascinait-il ?
Sa « french-attitude » qui leur donnait un point commun. Son apparence. Ses manières. Son début de caractère.
Il reprit ses esprits et relança la conversation après l'avoir couper vivement, avec insolence.

« Vous êtes française ? Coïncidence ? Je suis français, franco-hollandais si je me hasarde à vous le préciser. »

Il ajouta à ses mots un grand sourire satisfait et se débarrassa rapidement, tout en gardant un brin de douceur de l'étreinte de la brune pour se rapprocher de la blonde avec finesse.

« Vous venez de France ? C'est pratiquement un des seul bateaux digne de transporter quelqu'un comme vous qui est parvenu à Port Royal hier. »

Il lui déclina un air professionnel. Comment savais t-il ça ? Pas besoin d'en demander plus, Estrella posait aussitôt la question de savoir qui il était. C'était le moment de sortir ses bonnes manières et son charisme français. Jules s'inclina en avant sans quitter Estrella des yeux, estime personnelle. Je trouve que ça fait fière plutôt que de s'écraser conformément devant elle. Et mon dieu que c'est la classe de faire ça. Moi-même, narrateur, le fait putain de trop bien. Et c'est de la tuerie. Ju' lança un coup d'œil rapide vers la jolie brune à côté. C'était là qu'elle saurait son nom, de son côté, il allait devoir improviser. Ça ne se faisait aucunement de ne pas présenter sa fiancé !

« Jules, Néron, Van Ashes, Mademoiselle. »

Regarder le, à exhiber son prénom français que j'adore, son deuxième prénom d'empereur complètement fou et ses origines hollandaises. Sale gosse va'
Il se redressa, passa sur le côté et lui saisit le coin du bras. Comme-ci sa pseudo femme n'existait plus. Grossière erreur Ju'. Comment-allait-elle le prendre ? Dans d'autre circonstance, ça se serait bien passer. Or, dans ce cas, il avait laisser s'échapper ses allures de playboy français tel un Bruce Wayne de l'armée.

« Contre-Amiral de l'armée britannique et 2nd à la East India Company. Cela vous convient-il ? »

Regarde le ! Encore à se montrer haut et fort ! Comme ça, elle savait que Ju' avait de l'importance.
Il lui lança un charmant sourire comme à son habitude. Ce sourire de gamin qui fait craquer. - moi je l'aime bien ce sourire – Ok, je me tait. Il lâcha prise sur la blonde avec un certain regret mais se sentit bien fière de reprendre le bras de la belle brune au allure décaler par rapport à Port Royal par le bras. Il l'a présenta en la regardant amoureusement dans les yeux.

« Et voici Louise, la plus belle de toutes les femmes de Port Royal. A mes yeux. »

Jules, tu es le pire enfoiré que j'ai jamais vu.
Sur quoi, il sourit narquoisement à la « Louise » histoire de dire qu'ils étaient entrain de bien l'embobiner. Mais lui, il était au courant qu'il se faisait joliment rouler ?
Puis une question irrita le jeune homme. La question de son âge. Eh oui, il ne paraissait nullement vingt-trois ans et pourtant il les faisait. Il plissa les yeux et l'assena d'une moue boudeuse. Ju', tu nous fais quoi là ?
Il relâcha durement le bras de Louise, et en étant doucement sur les nerfs, il lui répondit d'un ton qu'il arrangea du mieux qu'il pu. Certes, ça le rendait encore plus gamin que la normal et carrément chou mais qu'est ce vous voulez. Il prit cette phrase comme un compliment, ou du moins essaya. C'est toujours bien d'avoir l'air jeune.

Mais peut-être pas quand on a vingt-trois, qu'on est Contre-Amiral et qu'on passe pour un adolescent de dix-sept ans.

« J'ai vingt-trois ans. Je reconnais faire beaucoup moins, c'est une dure évidence. »

Il insista sur ses dernières paroles pour lui rappeler que ce n'était pas aussi simple. Espérait-il un remontant de sa part ? Je pense bien que oui. Il ne retourna pas la question à la demoiselle, on ne demande pas son âge à une femme, c'est bien connu. Elle le dirait d'elle même si elle voulait. Mais elle ne devait pas être bien vieille vu son apparence.
Ju' suivit le regard furtif d'Estrella qui s'était poser sur une boutique de robe chic, juste à côté d'eux. Il s'avança de quelque pas et lui offrit son bras pour se rapprocher de la vitrine. Oui, il avait encore oublié le fait qu'il était « fiancé » Ju' ... tu gaffes à mort parce que t'es obnubiler par une blonde ? Ça va pas du tout ça xD.

« Très jolie robe, vous devez avoir une garde robe magnifique. Les couturier français sont excellents. »

Toujours sans lui adresser le moindre regard – il attendait que ce soit elle qui le regarde – il laissa son regard flotter sur les robes. Elle serait mignonne dans celle là. Oh et l'autre au fond. Ouh *__* Peut-être qu'il pourrait lui en offrir une ? Je vous l'ai dit, je sais appâter.

Maintenant mesdames, je vous laisse parler de chiffons et autres trucs de bonne femmes !
Ju' est concentré sur sa boutique.

» Jules N. Van Ashes / Admin
» Estrella Swann
» &-Swann Estrella-& [ok]